peut-être ce qui m'attire en toi
tire en toi
n'est rien que l'autre versant de moi
sang de moi
où m'attendait la jouvencelle
cachée derrière les portes
les portes
du ciel
rien de tout ce qui m'aspire en toi
pire en toi
n'est plus doux que le grain
de ta peau
de ta voix
dont la magie providentielle
m'ensorcelle et m'escorte
jusqu'aux portes
du ciel
d'où, d'où, d'où viens tu
ô ma tendre merveille,
mon amour absolu
bercé par le flot des sortilèges
et des rêves étoilés
sous le grand manège enchanté
peut-être ce qui me relie à toi
lie à toi
n'est autre que ce cordon de soie
don de soi
que tu m'enroules autour du coeur
pour l'empècher de courir
se faire prendre ailleurs
et si tout ce que j'adore en toi,
dort en moi
je veux que tu le réveilles en moi
veilles en toi
pour que de la terre au soleil
des pluies de nos caresses
naisse un bel arc en ciel
d'où, d'où, d'où viens tu
ô ma tendre merveille
mon amour absolu
bercé par les sortilèges et les rêves étoilés
sous le grand manège enchanté
peut-être ce qui m'attire en toi
tire en toi
n'est autre que le sourire en moi
rire en toi
du petit esprit malicieux
qui lance des étincelles
dans le ciel de tes
yeux
[jacques higelin/ballade pour izia/illicite]
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